Kouzou Naoe

# Prénom : Kouzou
# Nom : Naoe
# Âge : 25 ans
# Première technique : Attirer les des éléments conducteurs par la magnétisation.
# Sexe :Masculin
# Affinités : Kinton
# Groupes ou village : Suna

# Physique :
Kouzou est un homme frêle et menu, son physique est très peut mis en valeur, caché derrière un maquillage blanc, son crâne chauve comporte de nombreuses brûlures qu'il cache à l'aide de perruques ou d'autres couvres chefs ridicules. La peau de son visage est grasse et ravagés par les cicatrices. Son maquillage blanc masque ces cicatrices du passé, il a des yeux bruns uniformes sans stris ni variation de couleur. Un grand sourire dessiné grossièrement avec une sorte de peinture couvre la partie inférieure de son visage lui donnant un air... plus inquiétant que rassurant. Il porte des vêtements extravagant ou non suivant les saisons, il préfère le sobre en hiver et les franfreluches en été, soit disant pour être en harmonie avec cette nature qui se remet péniblement sur pied. Il porte des chaussures énormes qui ressemblent plus à des semelles orthopédiques qu'autre chose, le génant plus qu'autre chose il ne s'en sépare jamais sauf à de rares occasions. En gros Kouzou est un clown, une sorte de pantin désarticulé à qui on a coupé les ficelles qui le relient au marionetiste.

# Caractère :
Kouzou est un homme en perpétuelle dépression mais qui s'efforce de voir la vie du bon côté, se persuadant qu'en montrant un aspect positif de soit on peut convaincre les autres de se dire que la vie n'est pas si mal, après le grand boum il s'est dit qu'il fallait répandre la joie. Il se pose beaucoup de questions sur l'existence et n'hésite pas à en parler avec ses camarades. Bien qu'il veut se faire passer pour un rigolo c'est plus une créature qu'un homme, ne montrant que des bons aspect il adore manipuler, être le marionetiste, ne craignant pas de mourir. Pour lui plus la personne est dur à manipuler plus il éprouve un sentiment de jouïssance. C'est une âme foncièrement noire qui pourtant veut donner un éspoir et faire du bien. Il est déchiré entre son intérieur et son extérieur, son idéal serait cet extérieur. Il est aussi très porté sur le paranormale et a des coutumes très étrange, il considère la nature comme puissance suprême et en va même jusqu'à prier devant une fleur pendant dix minutes tous les matins pour montrer sa croyance.

# Histoire :

Kouzou est à la base une marionette, il était utilisé par un vieux ninja de Suna qui avait rangé les armes et s'était reconverti dans le spectacle de rue pour se faire une petite retraite tranquille. Il créa donc Kouzou joyeux clown bondissant donnant bonheur et joie à chaque passant. Un sourire une pièce, un rire deux, un éclat de rire cinq. Le vieille homme devint très vite populaire et voyagea de par le monde, montrant la fabuleuse marionette qui, au lieu de sortir des lames empoisonnées de son bras faisait surgir conféties et bonbons sucrés. Chaque représentation était un spectacle de magicien, un tour de passe-passe dont seul le vieux conaissait le secret. Mais ce vieillard commencait à se mourir, il avait assez bourlingué dans sa vie et s'était dit qu'il avait donné à tous le monde toute la joie possible et qu'il avait mené une vie juste. Il avait tout donné sauf à un, le plus méritant, Kouzou. Cette marionette avait bien mérité de vivre ou du moins d'apprécier les plaisirs de la vie. Le vieillard s'installa donc dans sa cave et écriva sa dernière lettre. Son dernier publique, devant ses dizaines de marionette, devant cette marionette. Il créa son plus grand spectacle, le plus grand levé de rideau. Un, deux, trois points de suspensions pour achever son texte. Il posa alors sa marionette sur la table, regard ému il posa ses mains sur son torse, il l'avait si bien habillé pour l'occasion, pour la première fois sa marionette était en costume digne de ce nom... En versant ses dernières larme il passa trente minutes à insufler la vie à sa marionette... à donner la sienne... A éteindre cette lueur d'espoir dans son être... pour la donner à son plus grand chef d'oeuvre.
Un vomissement, les gens naissent dans le liquide de leur mère. Lui était né dans le vomi de son maître... Il aurait aimé déversé ses tripes par terre lui aussi, mais rien n'y faisait. Il se leva, se gratta le menton puis prit doucement le vieillard dans ses bras... l'embrassant il se dirigea dehors, traversa Suna en souriant, les enfants s'arrêtant et criant son nom! " KOUZOU !!! " Le pantin souria naturellement pour la première fois de sa vie et cria comme un bébé qui gazouille " KOU... ZOU! ". Les enfants courèrent avec lui jusqu'à la colline et le laissèrent et lui faisant des grands gestes de la main... Il se rendit alors compte que sur son torse était épinglé une feuille. Il la détacha et commenca à la lire... Quand a-t-il apprit? Ne me le demandez pas, un être magique ne peut que être surprenant, il avait compris que cette homme plein de vomi était son maître, son créateur, son père. Il avait compris que cette lettre était pour lui. A voix haute il commenca:

" Cher Kouzou, si par miracle tu lis cette lettre c'est que tu es ce personnage magique en lequel j'ai cru ainsi que tout ces enfants que tu as du croiser dehors. Kouzou je déteste les messages larmoyant c'est pour ça que j'irai droit au but... Tu ne comprendras surement pas le sens de ta vie. Sache que tu n'es pas un monstre, tu es le fruit de l'amour de cette personne là bas à Kiri, de cet enfant à Konoha, de cet homme à Suna... De mon amour... A force de voyager avec toi j'ai compris que le bonheur... si important n'existe que si... "

Un grand bruit rettentit, comme si un marteau géant s'écrasait sur une enclume... Une lumière blanche soudain. Kouzou sautilla dans tous les sens essayant de saisir le rien. Criant:

" MAITRE, MAITRE! PAPA JE VOIS LE BONHEUR! KOUZOU VOIT LE BONHEUR! "

Ses paroles furent absorbées par cette lumière... Son âme, son corps... Sa raison de vivre, fut carbonisé avant qu'il n'ait eu le temps de la connaitre...
Une jeune pousse perçait le sol... Il sagissait d'un doigt. Il remua puis à la manière d'un lombric regarda à droite, à gauche... en haut! En bas! Une main émergea, suivit d'un bras puis pour finir une tête... Le visage brûlé, sa si belle perruque détruite. Il se releva un sourire déchiré et amère sur le visage. Ce n'était pas le bonheur... il chercha en vaint des jours et des jours cette lettre... Elle était parti avec les miettes de lumière... Comme un millier de papillons, comme l'âme pur de son maître... Tout avait été emporté... Se relevant péniblement il gagna le village, errant à travers les ruines... Il chercha longtemps le sens à sa vie. Etrangement il ramassa deux billes d'aciers... Et jongla devant les cadavres des enfants autrefois rieurs... Kouzou lui dansait, criait, pleurait... Pourquoi il n'arrivait plus à les faire sourire?

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