~ Si paisible ~ [PV Kouzou]

Itsuake avait fait quelques escales dans des auberges, restaurants, et autres, son voyage était décidément ennuyeux... La solitude ne lui plaisait pas, il se souvenait avec amertume de ses nombreux voyages avec sa coéquipière, Yuriko lui manquait vraiment. Depuis qu'il avait quitté Kiri no kuni, il n'avait jamais vraiment été seul, ayant d'abord monté un petit groupe de nuke-nin, puis au final rejoint la Ren'Mei, il avait toujours sut s'entourer. Mais depuis son réveil, il n'avait eu aucun contact amical, aucune compagnie, la raison était simple, il était poussé par sa seule obsession de retrouver les autres, et rien d'autre ne comptait vraiment à l'instant présent. Il était arrivé rapidement au village de la neige. Le climat changeait radicalement, l'air était glacial, le paysage triste de par la neige qui était omniprésente. Il neigeait à petits flocons, sur la route qui menait a Yuki no kuni. Il arriva enfin aux portes du village et entra sans attendre, la l'atmosphère devint conviviale, les rues étaient éclairés, une multitude d'échoppes étaient de chaque cotés de la grande allée qui menait au centre du village. Une foule de gens à l'aspect joyeux se pressait tout autour d'Itsuake, c'était agréable à voir. Même avec les destructions causées par l'Akatsuki, la joie pouvait se lire sur beaucoup de visages. L'ambiance était festive grâce au tournois, sans attendre Itsuake s'engagea dans la rue principale, il marchait en direction de l'arène. Il allait bien sur participer au tournois avec un nom d'emprunt, se faisant passer pour un shinobi du village caché du sable. Il avait déjà préparé la supercherie, soudoyant quelques personnes au marché noir lors de sa précédente visite. Il arriva aux abords de l'arène, le monde était en ébullition, des cris et des bruits provenaient de l'intérieure de l'arène, Itsuake s'y rendit afin de demander à l'un des responsables de la sécurité si le tournois avait commencé. Il lui répondit que le premier échange avait été lancé. Le renégat ne passait qu'en troisième, il avait encore un peu de temps, et se décida à visiter un peu les alentours.

Il se tourna et marcha un peu à l'est de l'arène, s'enfonçant dans la ville. Il pensait bien pouvoir commencer les recherches ici, étant donné que le dernier monarque en date n'était autre que Mai Sonata, son ancien maître, leader de Ren'Mei. Ces ruelles étaient moins accueillantes, un peu plus sombre, il n'y avait presque personne, au fur et à mesure qu'il avançait, les gens se faisaient de plus en plus rare. Il finit par arriver sur une petite place seulement éclairée par la lumière du jour. L'endroit était très joli, la fine neige qui tombait le rendait presque magique. Il y avait une fontaine gelée au milieu, puis des bancs de pierre tout autour. Pour finir l'endroit était encadré d'habitations et quelques arbres enneigés étaient planté ci et là. Itsuake s'avança sur cette petite place, il n'y avait pas un chat, et les bruits de la foule qui assistait au tournois se faisait lointains. Il s'assit sur l'un des bancs en prenant soin d'enlever le peu de neige qui s'y était déposé. La il ferma les yeux pour se reposer un peu. C'était un endroit agréable, personne pour venir l'ennuyer, pas un bruit, les seuls mouvements étant ceux des flocons qui tourbillonnaient en tombant. Il comprenait à présent ce qui avait séduit Mai Sonata dans ce village. Il réalisa alors que l'espace de quelques minutes il avait oublié la raison principale de sa venu à Yuki no kuni. Il sourit, envouté par les lieux, mais fut perturbé par un bruit. Non loin de lui quelqu'un marchait dans la neige, il rouvrit les yeux pour voir de qui il s'agissait, par simple curiosité. Il tourna son regard vers une petite ruelle qui débouchait sur la place, elle était sombre, et il comprit vite que les bruits venaient de cette petite rue. Puis les pas s'arrêtèrent soudain. L'individu avait par quelque moyen qu'il soit compris qu'il était épié par le renégat.

Qui va là ?

Itsuake avait parlé d'une voix calme, pour éviter toute confusion, il regardait avec un air impassible la ruelle d'où provenait le bruit. Seul les bruits de la foule au loin, et de la neige qui tombait étaient encore perceptible. L'inconnu se mit alors à marcher de nouveau vers la place, et Itsuake distinguait à présent dans l'ombre une silhouette. Il se redressa un peu, était-ce un ennemi ?

" Dans la neige imaculée on a du mal à savoir où on met les pieds, Yuki qui du soleil fuit. Yuki qui rit, Yuki qui nie, Yuki qui... heu... qui... luit! "

Le poète de pacotille aux vers désordonnés marchait dans la neige depuis trois jours et tuait le temps en cherchant toutes les rimes possible avec Yuki. Il avait entendu dire qu'une ville était tout l'inverse de Suna. Embrassé par la neige qui contrairement à Suna l'était par le sable. Il y faisait très froid et le soleil ici était appaisant contrairement à celui du pays du sable qui était pesant. Mais tout ça ne faisait rien à Kouzou, il ne sentait pas les changements de température c'est qu'il était solide le gaillard... Remettant sa perruque en place à chaque coup de vent. Il avait perdu connaissance ici, il se souvenait avoir été avec un jeune homme il y a peut mais qu'il avait mystérieusement attérit dans la neige de yuki... enfin bon ce n'est pas comme si il n'était pas habitué aux absences... Dans la plaine Kouzou bondissait à la manière d'un félin, avec les quatre pattes cassées je vous l'accorde... C'est qu'il était énervant avec ses chansonnettes... Il faisait fuir toute la faune, et il allait bientôt faire fuir tout Yuki...
Il était arrivé devant les enceintes du village, semblablent à des blocs de glaces énormes, il admirait les tours hautes et écoutait attentivement les passants... Un tournoi... des crêpes... une quantité non négligeable d'informations atteignaient les oreilles de Kouzou, il décida de toutes les mémoriser en chemin. On ne sait jamais la recette des crêpes peut toujours servir! Il comprit donc que tout ce remu ménage était du à une sorte de féstivale ou un évènement mondiale... Passionant... un tournoi... voir les gens se battre n'avait aucune utilité, pourquoi se battre? Ca ne fait que rendre les gens encore plus seuls. Enervé il s'accroupit puis se propulsa en l'air, il s'écrasa lamentablement de l'autre côté de l'enceinte, le bruit avait été étouffé par la neige mais ses bras désarticulés avaient néanmoins fait pas mal de boucant. Il regarda à droite puis à gauche, se remit bient droit, remit sa tête dans le bon sens, puis se rendit compte qu'il avait perdu sa perruque... Il courut alors dans tous les sens pour retrouver sa précieuse touffe. Se fracassant contre les murs en la cherchant il se résigna à partir... Il avança vers la sortie de la ruelle, quand tout à coup une voix l'interpella. Qui était là? Bhé décidément si tous le monde se faisait du soucis en entendant un pauvre bougre chercher sa perruque on pouvait plus avoir confiance dans le monde. Kouzou sortit doucement puis se recroquevilla, avancant à la manière d'un crabe sur ses quatre membres, il avança à toute vitesse. Il repéra un homme sur un banc, il s'était redressé, préparé à affronter la folie de Kouzou. Il se propulsa en avant et atterit à pied joins sur le banc, il faisait vraiment peur la neige avait fait couler son maquillage et sans sa perruque il était assez perturbant... Il entamma alors:

" Bonjour je suis Kouzou! Tu n'aurais pas vu ma perruque? Comment tu t-appelles? C'est quoi ton passe temps? Tu connais la recette des crêpes?! Tiens attend j'ai fait une chanson sur le chemin! Ta vu comment jsuis obligé de marcher pour pas tomber?! C'est nul!
La taupe ne comprend pas pourquoi le soleil la vouvoie, mais lui ne sait pas pourquoi elle ne se montre pas. Jamais plus que le bout du nez elle ne sort avant de s’enterrer. Pourtant Soleil est bon avec ceux qu’il côtois, au bout de trois la taupe creusa. Le soleil resta alors radieux, au bout de deux la taupe ferma les yeux. Alors Soleil s’éteint sans ceux qu’il ne voit pas, au bout de trois la taupe eu sa fin "

Content de lui il sauta sur l'homme et se faufilla sous son manteau, se roula en boule et lui dit:

" Ta bien aimé? Maintenant on est obligé d'être copain! "

[hors rp: Comme promis je le fais light =) ]

C'était un étrange énergumène, et Itsuake ne sentait en lui aucune mauvaise intention. Il n'arrivait pas à distinguer si ce Kouzou était un humain ou un pantin, il se mit à parler à deux cent à l'heure, ce qui provoqua un petit sourire sur le visage du nuke nin. Il finit par se faufiler sous son manteau et lui demander si ils étaient amis. L'air était glacial et Kouzou avait finit par rendre les choses un peu plus chaleureuses sur cette place. Étaient ils amis ? Il ne pouvait pas l'affirmer maintenant, en tous cas il n'avait aucunement l'intention de faire du mal à ce type. Toujours souriant, il recula de quelques mètres pour se retrouver cette fois-ci face a son interlocuteur. Un ami ? Pourquoi pas, voilà longtemps qu'il errait seul sur les routes, alors pourquoi ne pas tisser des liens ? Parler d'amitié lui rappelait son ancien mentor, Mai Sonata qu'il était venu cherché à Yuki, tout au long de sa vie ses amis étaient tombés au combat, les rares qui lui restait étaient les membres de Ren'Mei, mais si il ne les retrouvait pas, alors il se sentirait bien vite seul au monde... Il se décida enfin a briser l'atmosphère glacial qui s'était posé entre eux depuis les dernières paroles de Kouzou.

Hé bien bonjour Kouzou, je m'appelle Itsuake, et j'ai... Pas suivit toutes tes questions, mais j'en ai une, que fais tu à roder dans ce genre d'endroit sinistre, tout seul ?

Il regardait son interlocuteur avec un sourire amical, n'ayant rien contre ce dernier. Puis cet étrange personnage l'intriguait au plus haut point, il réalisa rapidement en l'observant qu'il faisait partit du village caché de Suna no kuni, et il n'avait jamais vraiment porté ces ninjas dans son cœur. Mais Yuriko étant native de Suna, il avait sut combler cette haine. Il s'assit donc sur le rebord de la fontaine, afin de parler avec le nouvel arrivant. Il était vraiment étrange, mais sa présence amusait Itsuake, qui sait peut être allaient ils devenir amis. Il attendait avec impatience la réponse du jeune homme, qui gardait le silence depuis quelques secondes. Itsuake gardait son éternel sourire amical et observait Kouzou avec amusement.

Approche, je ne vais pas te faire de mal tu sais.

Il tenait à rassurer ce dernier, parce que depuis son arrivé à Yuki, il avait été le seul à s'adresser à lui, le seul à remarquer ne serait-ce que sa présence.

Kouzou se sentait à l'abri, isolé du froid et de la blancheur monotone du paysage. En sécurité roulé en boule, protégé par cette aura charismatique et puissante. Contrairement à la première personne qu'il avait rencontré à Suna celle ci ne semblait dégager aucune mauvaises intentions. Il était simplement, au premier abord, dénué de faux semblants. Une chaleur humaine. Kouzou voyait en lui un feu ardent qui faisait fondre la neige la plus épaisse. Ce brasier venait peut-être de sa force, sa volonté... ou peut-être de la naïveté de Kouzou. Mais une chose était sûr, il se sentait bien sous l'épais manteau, il avait perdu le siens dans la tempête et avait l'air un peut débrailler... D'un alien même... Il sortit de ses rêves quand l'homme fit un pas en arrière, la chaleur partie, et son visage était à découvert. Ce qui l'énervait le plus au monde, car son visage de bois ne pouvait reflétter aucune émotion... Il fit craquer ses membres, ce son propre aux pantins en mouvement qui vous glacait le sang. Il s'appellait donc Itsuake et n'avait pas réussi à suivre la conversation...

"Tsu! J'ai perdu mon papa dans le désert puis jsuis arrivé ici... Et je cherche des gens qui veulent bien voir mes spectacles! Jpeux venir avec toi? Je t-apprendrais des tours! "

Il fit trois boules de neiges et commenca à jongler avec, il en lança une puis deux, puis trois! Et les laissa s'écraser sur le sol dans un bruit de pomme pourrie. Il regarda le sourire tendre du ninja, il ne savait pas d'où il venait ni où il allait mais il avait envie de connaitre cet homme. Il fit claquer sa machoire en signe d'amusement puis pivota sa tête à 360°. Il s'approcha de lui sous ses recomandations puis se glissa sur son épaule tel un corbeau, son bois le rendait souple, résistant, avec une très grande durée de vie mais aussi très lègé, on avait l'impression de porter une chouette. Kouzou ouvrit un de ses compartiment et sorti un biscuit sec qu'il tendit à Itsuake. Il lui dit le regard dans le vide:

" Dis Tsutsu... c'est quoi le bonheur pour toi? Comment on l'a? Tu comptes aller où pour le trouver? Qu'est ce que tu fais ici? Ta des amis? De la famille? "

Il continuait à énumérer toutes les questions possibles et imaginable tout en regardant les flocons de neige tomber sur son visage et celui de son compagnon. Immobile, hors du temps et de l'espace, comme un vieux cliché de photo.

Son petit interlocuteur se mit à poser d'autres questions, il avait perdu son père, peut être faisait il référence à son créateur, ou même à celui qui le magnait, car après tout il avait l'aspect d'une marionnette de Suna, mais il y avait plus en lui. Une conscience lui était propre. Il se mit alors à jongler avec de petites boules de neige et bondit d'un air joyeux sur l'épaule du nuke nin. Il regardait toujours dans le vide avec un sourire, ce Kouzou avait réussit à lui apporter la bonne humeur. Venir avec Itsuake ? Pourquoi pas, un peu de compagnie dans sa quête solitaire ne serait pas de trop. Il se mit alors à craquer, le son de ses craquements était assez effrayant, un son propre aux pantins, un humain ne pourrait faire une telle chose, c'était comme un os qui se brisait. L'atmosphère s'était quelque peu réchauffée, et au loin les cris de la foule en délire s'entendaient un peu plus, le match battait à son plein sans doute, et il ne devrait pas trainer, il fit soudain que Kouzou avait sortit une sorte de petit biscuit sec. Il lui posa alors de nouvelles questions, au sujet du bonheur, et de la raison de sa venue. Itsuake poussa un petit soupir et lui répondit alors sans hésiter et avec sincérité, il ne sentait aucune mauvaise intention chez Kouzou.

Hé bien j'ai perdu le bonheur il y a longtemps... Je ne sais pas si je le retrouverais un jour, mais qu'importe. Si je suis ici c'est pour retrouver la trace de mes anciens compagnons, je n'ai ni famille ni attache hormis ces personnes. Puis j'ai un certain projet.

Il ne voyait aucune utilité de lui parler de son projet final, de toute façon à la fin de la journée, il serait fixé, allait il réussir ? Personne ne pourrait le dire, ce qu'il savait c'est que même si il avait rouillé, il pourrait se battre à son maximum pour réaliser ce pourquoi il était là. Et une fois ceci fait, ses confrères en entendraient certainement parler, et viendrait peut être le contacter. Il réfléchit deux minutes à la question parlant du bonheur... Y aurait il droit un jour ? Il en doutait fortement, le monde shinobi n'était que violence et rivalité, jamais il ne pourrait trouver de réelle attache. L'amour ? Non il n'y songeait pas, l'amour a toujours rendu les gens faible et négligeant. Il poussa un second soupire, puis attrapant Kouzou, il le souleva pour le poser sur le rebord de la fontaine gelée, enleva son grand manteau puis le gilet noir qu'il portait en dessous pour le mettre sur son interlocuteur. Il remit alors son manteau noir, puis avec un sourire tendit sa main vers son nouvel ami (du moins il espérait possible cette amitié).

Hé bien Kouzou, je suis enchanté, et tu peux m'accompagner si tu le souhaite, d'ici quelques minutes je me dirigerait sans doute vers l'arène du village pour participer au tournois. Un peu de compagnie jusqu'à mon tour ne serait pas de refus.

Il affichait un sourire rassurant, et n'avait pas la moindre trace de mauvaise intention à l'égard de Kouzou, il voulait vraiment être accompagné, car depuis ces quelques années d'errance, il n'avait eu aucune compagnie, personne... Il avait voyagé seul, se sentant abandonné par ses anciens compagnons de Ren'Mei. Puis ce mystérieux personnage l'intriguait, il voulait en apprendre d'avantage. Il resta donc debout face à Kouzou, la main tendu avec un sourire.

Kouzou était toujours perché sur l'épaule de Itsuake et sortit de sa réflexion. Il avait compris que le bruit de ses membres qui craquaient perturbaient quelque peut son compagnon. Le pantin était intrigué par les cris et l'effervescence de la foule au loin, il s'y déroulait vraiment quelque chose d'extraordinaire, il avait très envie d'aller y jeter un oeil mais maintenant il n'était que concentré sur son nouveau partenaire. Généralement les questions à l'alambiqué exaspéraient les gens, surtout celles de Kouzou, mais Itsuake avait eu la bonté de lui répondre ce qui plut d'autant plus au pantin qui claqua des dents de joie mais se retint aussitôt après se souvenant que pour les hommes ce bruit était à donner des frissons. Après avoir entendu la réponse d'Itsuake, Kouzou comprit qu'il avait du souffrir et été seul comme lui. Mais une chose était sûr, il l'avait connu et comme lui le cherchait à nouveau. Si il y parvenait Kouzou allait pouvoir découvrir ce que c'était et donc ce que son créateur voulait lui faire comprendre. Il se souvint alors d'une manière de montré son affection, il descendit de l'épaule de Itsuake et le serra dans ses bras de pantin. Mais il ne fit que soupirer, il prit le pantin à la manière d'une vieille caisse et le reposa sur la fontaine voisine. Ce qui déplut à Kouzou qui fit craquer ses membres, s'ébourrifant tel un chat. Mais il lui fit enfiler quelques vêtements, ce qui lui donnait une allure plus normal. Il claqua des dents de satisfaction. Puis écouta Itsuake, il comptait donc participer à un tournoi, ce bordel était donc du à un tournoi de ninja? Kouzou eu très peur sur le coup, si il se faisait tuer? Si il se retrouvait à nouveau seul?! Il tomba à genoux puis serra la main que Itsuake lui tendait en criant:

" Tu peux pas! Si tu meurs je serais tout seul! Si tu meurs on retrouvera pas le bonheur enssemble! Si tu meurs je mourrais aussi et jme perdrais encore dans le froid!!! "

Il fit quelques galippettes puis s'accrocha dans le dos de Itsuake, frottant sa tête dans ses cheveux il chantonnait une chanson:

" Que le diable l'emporte, le nain de Stanislas menace, toujours entre deux portes, le nain de Stanislas menace de rire... hihihi... Si tu y va tu me promet de ne pas mourir? Jure le devant le seigneur Stanislas! "

Il essaya d'émettre un son semblable à un pleurnichement mais c'était plus un son de cailloux qui s'entre choc... Toujours en frottant sa tête dans le nuque du ninja il chantonnait sa chanson, pour le pousser à jurer.