Un paysage immense composé de plaine vertes et s'étendant à perte de vue composait les alentours et impreignait l'atmosphère d'un clame et d'une sérénité particulière. Tout à coup, ce fragile équilibre fut brisé par un bruit sourd, comme une avalanche soudaine, un craquement tellurique ou encore une explosion soudaine. L'énorme pierre qui cachait l'entrée du clan Akatsuki se levait doucement puis, ayant laissé se faufiller une ombre au dehors, se referma dans un grand bruit sourd. La jeune et belle femme qui sortait du QG avançait d'un pas qui semblait exagéremment assuré. Tout à coup, Anko trébucha et tomba à genoux dans la terre molle. Ele lva sa tête vers le ciel et poussa un cri déchirant, une longue plainte continue que le ciel n'avait entendu qu'une seule fois auparavant, il y a bien longtemps, quand l'Akatsuki était morte une première fois. Durant des mois, la nouvelle maîtresse avait tenté de recréer le climat de terreur qui s'était imposé quand Itachi était au pouvoir. Elle s'était battu pour faire subsister une once de crainte mais maintenant elle était seule... désespérément seule... Il y avait de cela un an, Neji était parti, puis un certain nombre de membres avaient disparus et enfin Deidara s'était retourné contre son clan. La traitresse était désormais morte, mais ce n'était lus l'Akatsuki qui faisait régner la terreur mais Oto... Oto et Konan, cette mystérieuse entitée qui respirait le mal et pensait le mal plus que tout autre chose. Il fallait lui montrer. Mais Lee...Lee... il était mort lui aussi, parti à jamais... sans une once de chance de retour... elle n'avait plus qu'un seul choix : elle errait. encore et toujours sans chance de retour avant d'avoir reformé une akatsuki... ou d'être morte...
Un observateur de la scène aurait vu le visage de la kunoichi se relever, ses yeux injectés de sang, lequel sang était en train de couler le long de son visage, elle s'était mordu la lèvre de rage. Le vent passa dans ses cheveux, le ciel se couvrit de nuage sombre et Anko lança au ciel et au monde entier :
Vous mourrez ! Vous mourrez tous....
Elle replia son genou gauche, se redressa gracieusement et parti tranquillement à travers les plaines. La mort s'abattrait sur les hommes, un par un... mais d'abord sur Konan...konan....konan...........
