Bureau du Maire

Ce topic est le Bureau du Maire ou vous devez venir demander pour demander un permis de construire et ainsi pouvoir créer un bâtiment. Vous pouvez poster ici même si vous êtes ailleurs vue que la demande ce faire en 2 ou 3 posts RP.

Kakashi en avait marre de servir les clients dans un casino, et pourquoi pas posséder son propre Casino, il pourrait se faire plus d'argent bien sur cela impliquait des responsabilités en effet, mais Kakashi s'en sentait capable et avec un peu de chance Konan finirait par le remarquer mais après tout il s'en fichait de cette fille, c'est vrai quoi il y a un tas d'autre filles dans ce monde et bien plus jolie que Konan. Il n'allait pas s'obstiner avec elle alors qu'elle ne voulait pas de lui, il prit alors sa BMW et fonça en direction de la mairie lunette de soleil sur la tête il s'arrêta ensuite a un feu rouge ou il vit une belle brune au volant d'une décapotable, Kakashi lui fit un petit clin d'oeil et fit fumer le moteur de sa voiture pour impressionner la demoiselle le feu vert... VROUM!! Kakashi fonça vers la mairie et était arriver en deux minutes il mit un grand coup de frein a min et fit un créneau a la perfection. Il entra alors dans al mairie te une jolie blonde au jolies forme se tenait devant lui a l'accueil il enleva ses lunettes et fit un regard de tombeur a la demoiselle.

"Bonjour mademoiselle c'est pour un permis de construction, le maire est la s'il te plaît? Dis moi je te trouve très charmante ça te dirait une balade après ton service"

Kakashi disait ça dans l'espoir de la faire espérer un peu il alla s'asseoir sur une chaise et attendit l'arrivée de Nagato.

~¤ Apparemment, on ne voulait pas de moi au Pub de la belle demoiselle Origami…Je les regardais soi-disant danser. Tu parles, l’homme à la moto ne savait pas danser. C’est alors que la chanson au rythme infernal s’arrêta pour laisser place à un slow… Les dégoûts montèrent drôlement en moi. Moi jaloux ? Jamais ! Je partis alors avec un air dégouté. Je me retrouva ensuite au centre de la ville. Je n’arrêtais pas de pensé au slow que les deux au Pub allaient danser… Il faut que je trouve un endroit pour ne plus penser à ça ! Accompagné de mes gardes du corps aux muscles incroyable, je rejoignis les nouveaux restaurants qui avaient ouverts. Au fil que j’avançais, je m’approchais de la longue plage. Je regardais le soleil qui éclairait la mer somptueuse. La beauté de celle-ci était miraculeuse. Je m’assoie alors sur le rebord du mur pour observer tout cette belle nature que nous a offert… Moi ! Je m’endormi vite à cause du surplus de travaille.

~¤ Un peu plus tard, un habitant au grand sourire me réveilla délicatement. Je le regardais, il avait un drôle de tête. Lorsqu’un ballon de volley-ball vienne me percuter. Je tombai à la renverse, sur le sable. Un peu déboussolé, se secoua ma tête et ferma un peu mes yeux. Les enfants qui m’ont balancé ce ballon viennent vers moi, non pas pours s excuser mais, pour récupérer leur ballon. Ils rigolèrent aussitôt lorsqu’ils virent la grosse marque du ballon. Je tournis la tête vers mes gardes par pur hasard et ils étaient de train de rigoler. Ma tête se transforma en mec désespérer puis ils se mirent aussitôt à faire leurs grand garde du corps. Bande d’incapable oui ! D’un seul claquement des doigts, l’un deux prit un téléphone High-tech puis téléphona. Une grande limousine apparut dans les minutes qui suivirent. Quelle classe ! Les gens regardaient comme des abrutis la voiture en se disant que eux ils ne peuvent pas avoir ça ! Je n’aime pas ça que des gens soit émerveillé devant une telle beauté et encore plus qu’ils prennent des photos de ça. Bref, j’étais arrivé une fois que j’arrêtais de pensé à tout ça. Je monta les marches non-accompagné de mes gardes et j’entendis une vrai voix d’homme. Je pouvais voir que l’homme avait des cheveux blancs et qu’il… Était en train de demander un rendez-vous à ma serveuse ?! Je me précipita vers elle, qui allait dire oui, puis je lui dis qu’il ne faut jamais rien n’accepter : c’est peut-être un traire ! Moi, le grand maire Pein, me retourna vers l’homme et le regarda avec dégoût. Sale journée qu’était aujourd’hui !

" Que voulez-vous ? Ma serveuse peut-être ?!! "

Itachi attendait toujours le Maire Nagato, il continua ses clin d'oeil a la jeune demoiselle de l'accueil il sortit un bout de papier de sa poche et nota son numéro, quand il se prépara a se lever pour allez donner son numéro de portable a la femme complétement sexy le maire nagato fit son arriver en lui demandant si Kakashi voulait sa serveuse. Kakashi el regarda avec un air étonner de plus il était accompagner de deux gardes du corps il avait peur? Pff... quoi qu'il en soit il regarda une nouvelle fois la jeune femme et lui remit son numéro de téléphone puis regarda le maire.

"Ce n'est pas de refus, mais je susi ici avant tout pour obtenir un permis de construction"

~¤ Et l’homme ne se privait pas devant moi ! Il lui donna son numéro, puis il me dit que ce n’est pas de refus qu’il prenne la serveuse m’a serveuse. N’importe quoi… Dégoûté de l’homme qui se trouvait devant moi, je claquai des doigts pour qu’un de mes deux gardes viennent s’emparer d’un stylo et d’un permis de construction. Ils revenaient après quelques secondes pour me donner tout ça. Je posai la feuille sur une petite table puis je fis ma signature. Drôle de signature, elle était un peu courbée. Je n’avais pourtant pas bu… Surement à cause que je ne l’ai pas faite depuis longtemps. Bref, je m’empressai de mettre le permis directement dans sa main puis de me reposer dans mon bureau. Je fermai la porte à clé pour ne pas qu’on m’embête. Je défis mon costard pour le laisser sur le bureau en vrac. J’étouffais là dedans ! Je regardais, allonger sur mon fauteuil, le ciel. Je me demandais s’il y avait encore une place là-haut pour moi…

~¤ [ Je savais vraiment pas quoi dire, désoler... ]

Une jeune femme, d'une vingtaine d'année à peine se tenait debout en équilibre sur le couvercle d'une poubelle municipale, accoudée au lampadaire juste à côté d'elle. De là, elle pouvait sentir le vide derrière le muret qui délimitait le côté droit du trottoir. Dans son dos, des véhicules divers et variés continuaient leur train-train habituel et semblaient peu soucieux de son attitude. Quoi ? Qu'y avait-il de plus normal que d'être debout, perdue dans ses pensées sur une poubelle, hein ? Après tout, si l'homme était bien poussière et retournerait bien à poussière, être près d'ordures de temps en temps n'y changerait pas grand chose. Argument débile puisqu'en fait, la jeune fille élancée n'avait pas de réelle raison d'être en hauteur ou à même le sol vu que de toute manière elle ne pouvait pas profiter de la vue qui s'offrait à ses yeux aveugles.

Shimizu, était dans sa tenue décontractée habituelle qui comportait : un short en jean vert-marron, un débardeur noir avec l'image d'un tigre rouge sadique penchant la tête sur le coté qui s'étendait sur tout le devant du vêtement, un gilet gris à la militaire auquel on avait arraché les manches, et des bottes en tissu noir à lacets qui montaient un peu en-dessous du genou. Elle avait fixé à ses chaussure des rollers indépendants qu'elle pouvait enlever quand elle le désirait. Elle portait d'ailleurs des protections aux genoux, aux coudes et aux mains... qaunt à la tête...
Un masque étrange à la vitre orange (à la Obito) était placé sur ses yeux habituellement d'un vert éclatant, les longs cheveux parmis ceux qui n'étaient pas coiffés en de fines tresses virevoltantes étaient rejetés en arrière à l'aide d'un beandeau aux couleurs militaire encore une fois. Dans une de ses mains gantées elle tenait une sucette saveur coca qui diminuait à vue d'oeil.

Derrière elle enfin vint sa bande...

Elle sentit leur présence et tourna la tête dans leur direction avant de se ramasser sur elle-même pour accomplir un salto qui lui permit de se rétablir au niveau du sol... un rétablissement parfait qui démontrait sa facilité à se mouvoir avec des roues aux pattes.
Elle pencha sa tête sur le côté de la même façon que le tigre sur son débardeur, et sembla les interroger, un sourire étrange aux lèvres. Elle put deviner qu'eux aussi souriaient. Il était temps... plus que temps... qu'ils sortent des rues !

C'est parti !

Coup de talon, son musical des roulettes en gomme glissant sur les dalles constituant le pont... Tristan, celui à l'afro était juché sur son skate préféré avec un requin sous sa planche... classique,mais néanmoins très classe ! Rik, le blondin de service mais néanmoins acrobate à bord de son tricycle enchaina les roues et figures qu'il affectionnait... faignant ainsi de les attendre... Niraku, une gentille brunette qui avait rejoint la bande depuis peu affectionnait particulièrement la trotinette qui pouvait devenir un chouette instrument de cascade quand on le maîtrisait bien... Le premier portait des jeans tellement déchirés que les fils qui y pendaient semblaient pleurer leur solidité perdue... le deuxième ne portait que des baggi, et pas grand chose d'autre, parfois s'autorisant une petite expédition dans ses tiroirs pour dégoter un slip et un tee-shirt. La dernière adoptait la tenue des skateuses-girls, bracelets de tissus en renforts et sa trotinette était elle-même relookée.

Ridicules ? Peut-être, mais ils s'éclataient bien...

Un peu plus loin : un mur. Plusieurs moyen de le passer.
Rik opta pour le tremplin naturel que formait une planche de chantier sur un tas de moellons... Tristan montra à tous que sa détente était sans pareil et fit un olly spectaculaire pour les adeptes, habituel pour ses camarades... Shimizu sauta sur la fenètre d'un particulier avant de s'élancer dans un salto au-dessus du mur, Niraku... emprunta le même chemin que Rik, évidemment. C'était son protecteur en mentor dans la bande.

Coups de talon, virage serré, des passants... on les évite, bien sûr ! Comment ? Les rampes sont faites pour ça ! Autre chose ?
Une règle : aider ceux en difficulté... surtout les petites vieilles !

Il leur fallait rejoindre la mairie... Un paté de maison, c'est tout ce qui leur restait à parcourir. Puis, il fallait traverser la route. Shimizu eut un grand sourire... droit devant, une barrière empêchant de se "jeter dans le vide"... en effet, plus bas (quelques mètres) il y avait une ruelle encombrée... pas très praticable.
L'ennui, c'est que c'était le meilleur raccourci qu'ils connaissent... et aussi un chouette parcours du combattant...
Shimizu entama une accéléation rapide, ses rollers entamant des glissades folles sur le bêton... petit ramassement... et on saute !

Zigzag, zigzag... le premier arrivé gagnait... au milieu de la ruelle, l'un tourna à gauche, l'autre à droite, Niraku était passée par un autre chemin dés le départ... Nouveau saut... et Vlan ! la route. Pas trop de voitures, et puis l'habitude. Une pourtant... fatale pour un gamin qui jouait au foot.

Coup de talon... et vlan, sauvetage du gamin au dernier instant.. coup de talon dans le ballon et on repart ! Le ballon roula un peu plus loin, cessant d'être un danger pour l'automobiliste... Rik arriva se pencha en avant, récupéra la sphère en cuir, la lança d'une main en l'air avant de faire une roue avant afin de l'envoyer plus loin d'un coup de roue arrière...

Ballon stoppé en plein vol par le skate de Tristan, le déviant ainsi de sa nouvelle trajectoire, et Niraku récupéra finalement le ballon sur le trottoir.

Shimizu posa l'enfant qui n'avait pas compris grand chose et se dirigea vers la Mairie...

C'était le moment, de sortir de l'ombre.

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"Enlevez immédiatement vos rollers jeune fille !"

Enlever ses rollers ? Jeune fille ? Elle en avait de bonnes celle-là !

"Mais je viens parler au maire pour demander un permis de construire pour un dojo japonais (avec temple de méditation et zone skate-parc ! Quelque chose d'original quoi !) pas pour prendre un permis piéton !
-C'est quoi ces manières ! En plus vous avez pas l'âge et le Maire est occupé.
-Pas l'âge ? (c'est vrai qu'elle paraissait plus jeune qu'elle ne l'était dans cet accoûtrement...).
-Et puis, avec quoi comptez-vous payer la construction ?
-Avec ce que j'ai gagné dans des concours de sports extrèmes bien entenduset toutes les primes de championats aux arts martiaux !"

La secrétaire palît à vue d'oeil.
Bah quoi ? Qu'est-ce qu'elle avait dit ?

[Oui, mon perso... est métamorphosé XD !]

[ Je répondrais dans peu de temps... ]

Jiraya venait d'arriver à Utopia, une cité récemment construite pour le plaisir des hommes et des femmes. Le Sannin avait apprit que beaucoup de femmes aimeraient être comblés par un mâle et les hommes apprendre à séduire le beau sexe. Cela tombait bien, Jiraya avait du temps à perdre et puis peut être que dans l'arrière-boutique de son futur magasin, il pourrait combler la gente dame. Et puis c'était le rêve de ce pervers, ouvrir son propre magasin. Mais comme dans toute cité civilisé, il fallait un permis de construire. Le Sannin avait deja repéré l'endroit où il le construirait. Au bord du sable, là où beaucoup de femmes en petites culottes passeraient juste devant lui et pourquoi pas, entamer dans se pièce secrète, une petite partie de jambe en l'air. Bien entendu, il ne lui manquer plus que la permission du maire d'Utopia. Il ne lui dévoilerait tout ce que Jiraya comptait faire dans son magasin mais le stricte minimum. Puis qui sait, ce maire est peut être un fan des livres de l'ermite, et un jour viendrait-il faire un tour pour acheter de quoi lui faire plaisir. Jiraya n'avait pas encore réfléchis à tous ce qu'il vendrait dans son magasin mais s'était deja donné deux ou trois idées.
Jiraya marchait dans la rue et trouva enfin le bureau de ce fameux maire. Il entra dans ce qui était l'un des plus beaux lieue de cette ville. Il s'approcha du bureau et vit une assistante.

"Bonjour, j'aimerai parler au maire"

" Premiére porte à gauche"

Elle lui indiqua un couloir puis retourna à sa paperasse. Jiraya prit alors sa direction. Il vit une grande porte en or et sut tout de suite qu'il s'agissait de son bureau.

*Ah les bureaucrate, toujours avec leurs gouts de luxe*

Le Sannin frappa à la porte et entra. A l'interieur était assis un homme fumant un cigare.

"Bonjour, je vient d'arriver en ville et j'aimerai construire un magasin de choses et d'autres. J'ai deja choisit l'emplacement, il ne reste plus que votre accord. Il s'agira dans un lieu unique servant pour toute personnes de plus de 18 ans. Je vous ai apporté un petit échantillon. Si j'ai votre accord, vous pourrez venir quand vous voulez, je vous ferai de bonne réduction"

Et Jiraya lui tendit un exemplaire de son tout nouveau livre. Encore plus chaud et varié que le dernier et avec en prime, des photos de femmes sublimes dans des positions toutes aussi excitantes, les unes que les autres.
Avec, Jiraya était certain d'avoir son permis de construire.

"Alors, qu'en dites vous ?"

~¤ Je venais juste de finir un petit et bref rendez-vous pour un permis de construire. L'homme qui venait de draguer ma serveuse s'en alla, permis de construire d'un casino à la main. Je n'eut juste le temps d'observer confortablement dans mon siège en cuir noir la ville qui ne cessait de s'accroître de jour en jour, que quelqu'un frappa délicatement à la porte. Je ferma les yeux et baissa la tête avec un air désespérer... Je finis par soupirer longtemps puis ma deuxième serveuse tout aussi charmant que la première entre-ouvrit la porte. Pourquoi ne pas l'ouvrir pour laisser entrer la personne qui attendait, me direz-vous ? Tout simplement pour la peur que quelqu'un se rebelle contre moi. A près tout, j'ai déjà eu à faire à ce genre de... Vengeance ? Et pourquoi pas me venger moi aussi de ce que me font vivre les habitants de Utopia, ma ville ? Non, qu'est-ce que je suis en train de dire... Je ne dois pas changé, je dois rester comme je suis ; Après tout, je suis devenus Maire grâce à mon caractère ! Bref, je finis un signe pour qu'elle ouvre la porte en grand. Celle qui attendait était une charmante demoiselle qui se plaça devant-moi. Je me mit debout, me dirigea vers un table et prit le verre remplit à moitié d'alcool. Je bu une gorgée jusqu'à ce que quelqu'un re-frappe à la porte. Ma serveuse ouvrit et quelqu'un se présenta. Il avait de long cheveux gris. Je bu alors le reste de mon verre. J'étais désespérer... Toutes ces personnes en même temps. L'homme à l'air vicieux n'attendit pas que la charmante demoiselle parle en première qu'il s'empressa de lui faire montrer son projets. Il déroula une sorte de parchemin avec des dessins en reliefs. … Mais qu'est-ce donc comme sorte de magasin ?! J'espère que ce n'était pas ce à quoi je pensai. Et bien si ! Plusieurs signe le montrait d'ailleurs ! Bien sûr que j'étais parant pour qu'il créer un magasin comme ça ! Seulement, je ne vis pas très bien le nom...

" Quelle est le nom de ce magasin ? "

~¤ Je ne montrai pas que ce magasin me plaisais drôlement. D'ailleurs, pour faire encore moins paraître, je me dirigea vers la jeune femme. Je tourna le doigt pour qu'elle déballe ce qu'elle avait à dire tout en repensant au magasin de l'homme pervers.

[enfin j'ai du temps pour poster ! Désolée pour l'attente plus que scandaleuse -_-'...]

Shimizu se trouvait donc accoudée au comptoir de la mairie, chaussée de ses rollers (naturellement), en train de parler de façon diplomatique avec la secrétaire quand le frère du père noël -ou le père noël lui-même ?- entra dans le hall. Elle tourna sa tête dans sa direction. Bien entendu, elle ne pouvait pas noter les ressemblances flagrantes avec le légendaire bonhome rouge, mais le son de ses sandales de bois résonnait en écho dans sa tête...
...

...

Elle s'était toujours demandée comment on pouvait marcher avec des trucs pareils ! Elle avait essayé une fois, et chose étrange, c'est depuis ce jour-là qu'elle a opté pour les rollers. Allez savoir pourquoi.

On lui indiqua directement la salle du maire !

Non mais c'était quoi cette descrimination ? On laissait passer un représentant du saxe "fort..." avec des chaussures en bois qui beaucoup plus dangereux que lui avec, qu'une repérsentante du sexe "faible..." et en pleine maîtrise de ses roues ? Nan mais ça allait plus là ! Elle ne demanda aucune autorisation pour entrer dans le bureau du maire et décida de se faufiler derrière le gaillard.

"Jeune fille veuillez..."

Jeune fille, jeune fille... Si jamais cette secrétaire venait son dojo elle lui montrerait de quoi la jeune fille est capable ! Non mais ! À peine entrée dans la pièce où se tenait le maire elle sentit un grand espace autour d'elle. Cela ne faisai aucun doute, cette simple salle était plus grande que son chez elle. C'est en méditant cette trsite pensée sur les différences de richesse qu'elle sentit un regard très, mais alors trèèèès pesant sur elle. Le bonhomme aux sandales ? ELle décida de se dacaler un peu. Elle savait que cela nel'empêcherait pas de la reluquer, mais au moins comme ça il ne lui mettrait pas de mains et de choses dans ce genre. Mais surtout, elle pouvait espérer être capable de ralentir ses pulsions assassines vis-à-vis de bijous de famille. Des rollers, ça fait mal...

C'est donc autant pour sa sécurité à elle que pour celle de bonhomme pervers qu'elle se mt à distance. Devant le maire, juste avant de demander un permis de construire, ça l'a faisait pas. Mais promis elle y repenserait la prochaine fois qu'elle le croiserait dans la rue...

Le maire regarda les plans de l'autre gars. Son aura calme se changea immédiatement. Shimizu ne savait pas quoi tirer comme conclusion au juste, mais elle décida qu'elle serait au courant. Quand Pein s'approcha d'elle, elle sentit un mouvemen d'air autour de son bras. Elle reconnu brièvement le signe d'invitation à parler... seulement il était très frénétique et pa strès calme, aussi elle eut un peu de mal à le discerner. Mais quand ce fut chose faite, ele eu d'autan plus envie de savoir ce qu'il en était.

"Moi ? Je voudrais également construire un bâtiment... Pas grande chose, une sorte de zone de loisir et de détente mêlant un dojo, un temple, et un skate park, j'ai bien sûr les moyens... et..."

Elle se mit à réfléchir à toute vitesse.

"Et j'ai décidé de me placer devant le magasin de ce monsieur. Je suis sûre que ceux que se sera très profitable pour tous les deux."

Totale impro, mais elle lâcherait pas le morceau, et ce fut la tête légèrement penchée sur le côté, un sourire innocent, qu'elle attendit la réponse. Quand bien même il refuserait, elle avait plusieurs corde son arc.

[fini, c'est court, mais c'est tout ce que j'ai envie de mettre... après ça risquerait d'être trop lourd.]

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