L'artiste errant sentimental arrive

Sur la route menant a l'Akatsuki, les sentier tortuant, un jeune garçon de 18 ans arrivait, il étaitGrand et mince, les cheveux noirs courts et légèrement ébouriffés, les traits fins et le visage lisse. De plus, il a un regard très pénétrant et des yeux de couleur encre noire.
Il porte un haut sombre à manches courtes, un pantalon s'arrêtant au niveau des molets noir, et il a également un sabre glissé dans un fourreau, qu'il porte sur son dos.Il marchait lentement regardant autour de lui le paysage, il avait un livre a la main, ce livre était ouvert a une page où était dessiné un homme n'ayant pas d'expression ... Il voulait le remplir mais ne savait pas quoi faire. Au bord d'une falaise il vit la grotte de l'Akatsuki, il ne savait quoi faire puis il descendit la falaise, en regardant dans la forêt les papillons, il se mit à dessiner très rapidementdes papillons et ceci prirent vit... Il semblait heureux, il s'asseya dos à un arbre puis il repensa a son douloureux passer ...




La nuit était tombée, le ciel profond, baigné dans la pâleur fantomatique de mille et une étoiles. La lune était pleine et ronde, éclairant de ses pâles et blafards rayons le monde d’horreur qu’est le notre. Mais voyons, ne vous faîtes pas d’idées, même si le décor planté est doux et plaisant, l’homme qui y avance l’est beaucoup moins. Cette existence n‘est qu’un mensonge, comme vos amours, vos stupides amours. La mort, qu’est-ce au fond ? A part une mue vers une autre vie. Mort, libération ou emprisonnement, délivrance ou nouvelle souffrance ? Une vie de souffrance c’est tout ce qu’était la sienne… Tué pour se prouver qu’on est puissant, tuer pour se faire craindre, tuer pour tenter de s’éloigner des autres, avant d’y être brusquement ré attirer… Et on a beau haïr le monde, haïr cette vie qui ne nous apporte rien, à la fin on est vraiment tous pareil, la même mer*** en ce monde pourris, en ce long fleuve qu’est la vie, ce fleuve qui à force devient si monotone. Et on a beau vouloir faire croire au monde que l’on est si fort, mais pour finalement avoir les même plaies, les même souffrances, les même blessures… La vie, juste un fleuve de souffrances. Souffrance atténuées par la présence des êtres qui nous sont chers... Encore fallait-il en avoir, et quand on est un meurtrier, si froid et terré dans un silence assassin, c’est tout bonnement mission impossible. C'était le cas de Saï, en effet lui et son frère était à l'époque des toutes nouvelles recrue de l'Anbu et leurs vies était rythmé de meurtres, de tragédies, de souffrances et de haines. Heureusement pour eux les missions qu'il accomplissait ensemble d'ailleurs il faisait tous à deux et il ne rater pas une occasion d'être l'un avec l'autre : Ils tuaient ensemble, ils s'entrainaient ensembles, il avançaient ensemble mais surtout il survivait ensemble. Il était comme le Ying et le Yang et l'un sans l'autre il ne pouvais vivre. Pourtant pendant cette nuit une chose étrange c'était passé ... En effet le matin venait de se lever et Saï cherchait désespérément son frère dans tout Konoha, car ils avaient ensemble décidé de s'entrainer durement ce matin là, mais il ne le trouva pas. Tout à coup, alors qu'il entrait dans sa chambre afin de vérifier si ce dernier ne s'était pas endormi, il trouva un homme assez vieux debout au beau milieu de la pièce en train de fouiller dans les papiers de Saï et de son frère, en regardant très attentivement les dessins du jeune Saï. Ce dernier se demandait bien se qu'un homme paraissant aussi sage pouvait avoir à faire de ses dessins de gamin, mais le plus important pour l'e jeune artiste était de savoir qu'es que l'homme faisait ici. Il lui dit sur un ton très énerver et pas très sur de lui :

"Toi le vieil homme ! Que fais tu ici ! C'est la chambre de mon frère et à par lui personne n'a le droit de regarder mes dessins. Si tu ne les lâche pas tout de suite alors tu en payera les frais !"


Le vieil Home ne semblait pas écouter les paroles énerver du jeunes Saï et il continuait à regarder les dessins du jeune homme comme si de rien n'était, pourtant toute sa vie, Saï à été crains par les autres et d'habitude les gens li obéissait au doigt et à l'œil malgré son jeune âge. Mais la personne qui se trouvais face a lui faisait toute le contraire de l'effet attendu par Saï, montrant de l'impertinence et faisait monter en Saï une espèce de Rage qui le rongeait et qui guidait ses pas. Cette fois son frère n'était pas là et il ne pouvais pas ce contenir mutuellement comme à leur habitude, il fit donc :

~¤~Chôjû Giga (Peinture des bêtes)~¤~


A ce moment les dessins de Saï s'animèrent et le lion que le vieil homme regardait depuis plus d'une minute sorti violemment sa mâchoire du livre dans lequel il était dessiné et il attrapa le bras de l'homme, qui avait des grands bandages blanc, ces derniers lui recouvrait la moiter du visage. Le lion lacerait l'avant bras de cette inconnue lui faisant plusieurs marque très profondes, les entailles était de plus en plus nombreuse au fur et à mesure que la mâchoire avançait sur le bras du pauvre homme. Mais se dernier ne semblait pas être inquiéter et il sortir une drôle d'épée, il se servit de cette derrière pour pourfendre la bête et lui arracher la tête. Saï était étonné, c'était la première fois que quelqu'un réussissait à ce défaire de sa technique qu'il considérait jusqu'à maintenant comme imparable. Le jeune ANBU dit au vieillard sur un ton apeuré :

"Qui ... Qui êtes vous ?! D'où vient cette épée ?! Comment à telle put trancher mon dessin ?! Et qu'es que vous êtes venu faire ici ?! Répondez moi !"

"Ne t'inquiète pas, je vais répondre à toutes tes questions une par une. Tout d'abord tu voudrait savoir qui je suis ? ... Saï émet un signe de tête approuvant Danzo ... Ça tu le sera plus tard. En suite ma réponse répondra au deux prochaine cette épée vient d'une montagne très spécial qui produit un minerait contenant du chakra, ce qui la rend ultra résistante et très coupante, ainsi elle peut couper toute le matière même les métaux, ce qui explique qu'elle est put trancher ton dessin. Pour finir la raison de ma présence ici est en réaliser deux chose : La première, officiel ,est que je suis venu te faire part d'une bien triste nouvelle qui va affecter toute la suite de ton existence. La deuxième qui cette fois si est confidentielle, est que je voudrait t'embaucher dans une organisation qui rassemble les meilleurs éléments parmi les ANBU et qui vise à renverser Konoha une bonne fois pour toute !"


"Ren ... Renverser Konoha ?! Pourquoi faire une chose pareil ?! Tu n'est qu'un traitre je vais t'éliminer ... Saï sort son épée d'Anbu et la pointe vers Danzo ... Tu pensais vraiment que tu allais m'embobiner et que j'allais te rejoindre ?! Grave erreur !"

"Haha ... Danzo éclata de rire et attrape Saï par le cou, le calant contre le mur ... Tu dois vraiment être un bon ANBU mais tu est beaucoup trop fidèle à ce village, c'est surement car tu ne sais pas ce que je vais t'annoncer ! En effet je suis ici pour te dire que ton frère est décédé lors d'une missions de rang S où il devait faire équipe avec Itachi afin de d'exterminer le traitre clan maudit aux Sharingans, celui des Uchiha. Rejoins mes rangs et tu pourra te venger de Konoha pour avoir envoyé ton frère adorer à une mort certaine et de l'avoir séparé de toi."


Saï venait de s'effondrer sur le sol (Danzo l'avait lâché), en effet la nouvelle que l'homme venait de lui annoncé était terrible et elle le remplissait de haine contre Konoha, cette haine était gigantesque et elle le traumatisait. De plus il devait faire un choix, il devait decider de rejoindre la Racine. Tuer, faire souffrir, et souffrir soi même, était-ce donc à ceci que devais se résumer une vie ? Si insignifiante soit-elle ?! Quel cruel dilemme… Surtout lorsqu’on est un tueur, jugé sans sentiments. Le bruit de l’eau qui coule, bruit infinis et si plaisant, rappelant les bruits des larmes… Et du sang. Saï avait tant l’habitude de ce liquide plus que rouge, si chaud et si plaisant. Il ne veut plus être lui, échangeant sa place, connaître encore une once de bonheur, connaître encore cette douce sensation, la sensation d’un cœur qui bat et qui s’emballe, enfin …Vivre. Mais cela lui semblait impossible, trop de rage le gagnait à chaque fois qu'il voyais un ninja de Konoha vénérait l'Hokage, trop de haine l'envahissait lorsqu'il pensait à son défunt frère et au destin que des hommes sans scrupules lui avait réservé. Danzo qui sentait cette rage dit à Saï :
"Tsss, arrête de te faire de tendres illusions jeune homme, ta vie sans ton tendre et cher frère ne se résume qu’à une chose, Tuer et venger ton frère en détruisant Konoha."

"Maitre ... Saï s'agenou devant Danzo et essuye une larme qui colait le long de sa joue ... J'ai decidé de vous aidez à atteindre votre but mais je souhaîterais d'abord que vous m'entrainiez dans tout les domaine ninja afin que je puisse vous servire au mieux."

Fin du flashback

Puis Sai se releva sentant l'approche d'une personne, mais ce n'était seulement que le vent qui venait lui caresser le visage, mais il avait entendu dire que la capture d'un Bijuu se faisait alors il décida d'y aller et partit sur le dos d'un aigle...

Suite : Avec Yamato pour la capture d'un Bijuu